Astérix : racisme...
Astérix : racisme (celui qui est autorisé) et sexuel-répression
http://www.20minutes.fr/culture/1238033-20131017-asterix-est-il-ringard-encore-coup
Le dernier Astérix vient de sortir ! Fidèle à sa tradition depuis le début, la BD la plus nulle qui existe (et aussi celle qui se vend le plus, clientèle de beaufs oblige) fait comme d’habitude dans le racisme autorisé. Cette fois-ci, après les Goths (avec des casques à pointes évidemment), les Belges (avec des frites évidemment), les Bretons (qui conduisent à gauche… sauf que les Bretons sont aujourd’hui en Armorique et que les Angles et Saxons étaient à l’époque en Germanie), les Grecs, les Corses, les Suisses, même les Indiens d’Amérique y sont passés sur les clichés beaufs à la cons ; c’est donc au tour des Scots de passer à la moulinette. En fait, on attends toujours : « Astérix chez les Hébreux », « Astérix chez les Arabes » (des peuples pourtant bien présents il y a 2.000 ans) et « Astérix au Congo ».
Vous ne verrez JAMAIS ces N° car les clichés beaufs valables pour les casques à pointe sont interdits pour les bouffeurs de bananes. La démocratie selon Taubira probablement !
D’ailleurs « Tintin au Congo » failli même être viré des bacs récemment. Comment peut-on juger un ouvrage des années 20 en fonction de critères même pas existant dans les années 70 ?
C’est comme si on jugeait l’Ancien Testament en fonction des critères d’aujourd’hui et que l’on traduisait le mec qui s’appelle Yahvé (devrait être encore là celui-là vu qu’il serait immortel) au TPI de La Haye pour crimes contre l’Humanité pour avoir exterminé Sodome et Gomorrhe en fonction de leur orientation sexuelle.
Faudrait peut-être arrêter les conneries, non !
Pour en revenir à la BD gauloise où Falbala a les aisselles épilées (impensable pour une gaulois non romanisée) et dont la version cinéma où elle fut interprétée par Laetitia Casta l’amena à découvrir notre mouvement en 2006 et a tourner plusieurs film aisselles non épilées ce qui ne provoqua pas la moindre adhésion dans ce pays de cons ; il faut souligner un aspect essentiel d’Astérix :
On y dit que l’on ne sait pas à quoi servent les menhirs par exemple :
Rien n’est plus faux : le menhir est un paf ! Et oui ! On trouve même des menhirs vagins, plus rares d’ailleurs.
C’est un aspect à la fois de la nullité historique et culturelle d’Astérix (c’est bien pour les beaufs) et de son aspect sexuel-répressif.
L’autre exemple le plus révélateur est le sort réservé au barde :
Qu’est qu’une bouffe, orgiaque à l’époque qui plus est, sans musique et danse ? Or, la musique et danse entraîne par nature le sexe car musique et danse sont sexuelles. Avec la bouffe, ça donne une orgie.
On imagine avec peine qu’est ce que ces repas que l’on voit toujours à la fin de ces BD avec le barde attaché devait être chiant au possible et à mourir. Ça aussi, c’est pour les beaufs.
On n’aura donc pas non plus « Astérix à Lesbos » et « Astérix chez Isis et Dionysos », de même qu’ « Astérix chez les Etrusques » et « Astérix chez Epicure ».
Et y a même un parc Astérix. On peut donc faire cocorico puisque voilà un domaine où on a réussi à faire aussi bien que les américains dans la connerie avec Mickey. Et encore, Disney revisite nombre de légendes de l’Europe du Moyen-Âge et si on peut regretter que l’esprit du texte n’y soit pas, Disney s’est au moins abstenu de ridiculiser nos mythes fondateurs ; ce qui n’est pas le cas de cette merde d’Astérix.