14 mars 2017
Quand la CGT défend les revendications patronales
Quand la CGT défend les revendications patronales et européistes !!!
Après le ralliement de Robert Hue à Macron...
"Clause Molière": "sur les traces du Front national" pour Martinez
Martinez: la "Clause Molière", qui impose de parler français sur les chantiers, va "sur les traces du Front national" et de la préférence nationale Philippe Martinez, numéro un de la CGT, a déclaré mardi que la "clause Molière", qui vise à imposer le français sur les chantiers par certaines régions, était "plus que" populiste et allait sur "les traces du Front national".
http://actu.orange.fr
Martinez: la "Clause Molière", qui impose de parler français sur les chantiers, va "sur les traces du Front national" et de la préférence nationale Philippe Martinez, numéro un de la CGT, a déclaré mardi que la "clause Molière", qui vise à imposer le français sur les chantiers par certaines régions, était "plus que" populiste et allait sur "les traces du Front national".
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... voilà les autres staliniens, de la CGT cette fois, qui défendent l'invasion de travailleurs détachés de l'Est qui viennent manger le pain de NOS arabes !
Politiquement très incorrect.
"Vous avez des étrangers qui viennent en France comme balayeurs, et après ils restent comme noirs !" "Qu'est-ce que c'est que ces Portugais qui viennent retirer le pain de la bouche de nos Arabes ?" "On pourrait renvoyer chez eux les Portugais, les Africains, les Nord-Africains, les juifs...
http://www.liberation.fr
"Vous avez des étrangers qui viennent en France comme balayeurs, et après ils restent comme noirs !" "Qu'est-ce que c'est que ces Portugais qui viennent retirer le pain de la bouche de nos Arabes ?" "On pourrait renvoyer chez eux les Portugais, les Africains, les Nord-Africains, les juifs...
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La CGT soutient déjà les migrants, autre revendication patronale du même type qui consiste à se servir de cette reserve de main d'oeuvre de la bourgeoisie (selon Karl Marx lui-même) pour casser salaires et conditions de travail.
Voilà qu'elle soutient l'Europe des patrons, ce qu'elle n' avait d'ailleurs jamais condamné clairement.
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