par référence à cette victoire défensive décisive de 7/1943, les ukrainiens...

Camouflage, câbles explosifs et chars : le plan de l'Ukraine pour transpercer les défenses russes

Les Norvégiens avaient surnommé "dents de Hitler" les blocs de béton semés sur leurs côtes par l'armée nazie lors de l'édification du mur de l'Atlantique à partir de 1942. Celles de Vladimir Poutine ont jailli de terre par centaines de milliers, dans l'est de l'Ukraine, ces derniers mois, le long d'une ligne de front de 950 kilomètres.

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... se prépare à ce que Hitler n'a pas réussi à faire et personne d'autre d'ailleurs à ce jour : percer une triple ligne défensive ! En effet, nulle possibilité de contournement ne s'offre aux stratèges ukrainiens et de l'OTAN qui les conseillent. La ligne défensive russe s'apparente à la ligne de défense russe de Koursk de 7/1943, mais elles ne sont vraiment complètes qu'en peu d'endroit vu la longueur de front bien plus étendues que le secteur de Koursk. L'erreur d'Hitler fut d'attaquer le point le plus fortifié, les ukrainiens attaqueront au contraire le point le moins fortifié comme à Sedan en 1940 (et c'est là qu'on voit l'imbécilité d'Hitler qui n'a même pas été capable de retenir les leçons des victoires des généraux qu'il a viré début 1942). Le gros problème des ukrainiens est de choisir en sus du bon endroit, le bon moment entre 2 impératifs :

  1. Attendre que leurs troupes soient mieux entrainées et équipées c'est aussi voir les russes renforcer jour après jours leurs défenses, ce que fit Hitler qui retarda l'offensive de Koursk de plus de 3 mois pour pouvoir disposer des nouveaux Tigre, Panther et Elephant ; on connait la suite !
  2. Attaquer dès que la météo le permettra avec le risque d'un échec faute de matériels suffisants et d'effectifs les maitrisants !

Une chose est sure, l'offensive ukrainienne se fera avant juillet ! Et elle sera décisive :

  1. Une victoire et Poutine est renversé et éliminé ! Restera la difficile question de la Crimée à négocier !
  2. Un échec et Zélensky va devoir négocier et faire accepter la perte des territoires conquis sous peine de perdre l'aide occidentale qui ne sera pas éternelle, surtout en cas d'échec comme le montre le précédent sud-vietnamien de 1974, 75 !