Vous êtes nymphomane, vous n’êtes pas malade !
Pour Alfred Kinsey, un des sexologues les plus célèbres du XXe siècle, la nymphomane c’est « quelqu’un qui fait l’amour plus souvent que vous ».
Exemple des conneries qu’on peut lire sur site soi-disant médical : http://www.creer-hopitaux.fr/nymphomane-est-ce-une-maladie/
« Peu étudiée et mal définie, la nymphomanie reste cependant relativement difficile à définir. » Ça commence bien !
« Cependant le monde médical s’accorde pour dire que l’on considère une personne comme étant nymphomane lorsque sa recherche du plaisir sexuel devient permanente et inadéquate, remettant en cause ses relations sociales au point de lui attirer de sérieux problèmes personnellement, tout comme à ses proches. »
Appliquer une sexualité… normale dans un monde musulman et on aura le même type de réactions.
Ici, nous vivons dans un monde patriarcal seulement à peine moins pire que le précédent sus-cité.
Notons que vous ne verrez pas ce sujet abordé dans la fausse résistance, normal vu que ces soi-disant « féministes »… vivent tous eux(elles)-mêmes dans une structure matrimoniale patriarcale traditionnelle, bobos obligent (faites ce que je dis, pas ce que je fais) !
« Une personne nymphomane agit donc comme un toxicomane ou un alcoolique dans la mesure où elle perd le contrôle, où sa recherche du plaisir sexuel est devenue une véritable addiction ». Oui, et alors, il est où le problème ? L’abus d’alcool, de cocaïne, de chocolat même est dangereux pour la santé pour des raisons médicalement connues, mais l’abus de sexe, faudra qu’on m’explique en quoi c’est dangereux pour la santé vu que comme dit plus haut c’est seulement sur le plan sociétal que ce le serait. Et du fait des autres (les refoulés, les patriarcaux) pas de la nymphomane.
En fait c’est la nymphomane qui est normale, et les « autres » qui ne le sont pas.
Je rappelle ces 2 articles fondamentaux :
Notre sexualité est multipartenariale : http://poilagratter.over-blog.net/article-19869774.html où j’explique le pourquoi de la forme du sexe masculin du à la sexualité qui existait il n’y a pas si longtemps que ça quand la société n’était pas encore patriarcale et refoulée ; et ce qu’est le sexe féminin, ses capacités, son pouvoir, sa puissance tellement énorme qu’elle peur aux refoulés justement. De là à dire que la femme normale est malade et qu’elle doit correspondre à une sexualité minorée adaptée à un seul partenaire masculin, c’est exactement ce que ces « docteurs », masculins évidemment, disent.
« Mais il ne faut pas la confondre avec une sexualité intense ou « libérée », car n’oubliez jamais que faire l’amour, en soi, ce n’est pas une maladie. »
C’est quoi la différence ?
http://www.elle.fr/Love-Sexe/Sexualite/Dossiers/nymphomane-2834872
Celui-là est encore plus drôle ! « Cette pathologie est associée à des troubles obsessionnels compulsifs ou bipolaires. » Non, il n’y a pas de pathologie nymphomaniaque ! On a là des personnes bipolaires ou schizophrènes et rien d’autre et dont la maladie se caractérise par des comportements dits nymphomanes.
« Les effets secondaires de certains médicaments… » Voilà une cause objective !
« Autre hypothèse, une mauvaise fonction de certaines zones du cerveau » 1984 de Georges Orwell où la psychiatrie politique appliquée au sexe, ou plus exactement aux conséquences sociétales d’une sexualité libérée dans un monde patriarcal. Hitler avait un terme pour interner en camp ce type de personnes : inadaptés !
Selon la psychologue Valérie Chaput, « les personnes touchées par la dépendance sexuelle sont souvent des femmes. » Celle là, faudra la proposer au Nobel… de la connerie. Vu ce que j’ai défini plus haut dans mon article et l’article de 2008 où j’ai déjà abordé le sujet, ce sont toutes des femmes, véritablement femmes, évidemment.
Laura (45 ans) n’a qu’un problème : la blocage sociétal culpabilisateur qui l’empêche de jouir.
Manon (36 ans) est complètement normale… mais n’arrive pas à l’admettre d’où le fait qu’elle consulte, et bien évidemment l’escroc ne va pas lui dire.
Et bien évidemment cette escroc n’est pas capable de citer d’autres cas !
« En effet, les nymphomanes souffrent du regard des autres. » La vérité finit toujours par sortir de la bouche des menteurs !
« Les traitements médicamenteux ne sont prescrits qu’en cas de dépression ou d’association à une maladie psychiatrique. » Idem ! Ce n’est donc pas une maladie ! C’est uniquement un comportement social considéré comme déviant par une société refoulée sexuellement qui a complètement oublié que c’était la norme à Troie, chez les Etrusques… et plus proche de nous, les communautés hippies.
https://pointculture.be/album/max-pecas-je-suis-une-nymphomane_482013/
« Carole perd son fiancé, son emploi et finit répudiée par son père. »
C’est bien les autres le problème !
Rappelons que l’on est un groupe de vrais hippies et que nous n’avons rien à voir avec la fausse résistance qui sont tous des gens qui passent leur temps à hurler contre le patriarcat et sont tous des gens, le gourou le 1er, à vivre de la plus parfaite façon patriarcale qui soit.
Vous êtes nympho ? Rejoignez-nous ! Vous pourrez vous y épanouir sans craindre le regard des cons de beaufs, bobos de gôche inclus, les pires d'ailleurs et je sais de quoi je parle avec cette fausse résistance fasciste, islamiste et communiste.
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